Il s’en est fallu de quelques jours seulement pour que les médias mainstream américains qui expliquaient que les gens devaient absolument respecter les règles de distanciation sociale pour éviter une deuxième vague du Covid-19 se mettent à encourager des manifestations censées pourtant être des sources de contamination avérées.
Tout se passe comme si on avait décidé de relâcher la pression jusque-là maintenue sur les peuples pour légitimer les restrictions de libertés, la vaccination de masse et le nouveau monde. Toute se passe comme si un changement de priorité s’était opéré et qu’il fallait désormais laisser le Covid-19 mourir, du moins pour l’instant, de sa belle mort médiatique. Il en résulte que les informations les plus authentiques sortent désormais au grand jour et révèlent les scandales qui ont marqué cette crise sanitaire.
Cependant, la mémoire des peuples ne doit pas être courte et l’intelligence collective ne doit pas faiblir. Si la réalité était devenue si hallucinante ces derniers mois, si des déclarations ou actions outrancières et déraisonnables sur le plan médical et politique étaient devenues monnaie courante et quasiment la norme, si la revue The Lancet, une bible pour les médecins, a publié une étude bidouillée contre l’hydroxychloroquine et désormais retirée de la publication, si l’OMS avait immédiatement décidé de suspendre ses essais avec l’hydroxychloroquine sans une analyse sérieuse de ladite étude et donc sans considération pour les malades qui pouvaient in fine en bénéficier, si l’on a inventé une prétendue dangerosité d’un médicament existant sur le marché depuis plus d’un demi-siècle et consommé par plus d’un milliard d’individus, si les sociétés de l’internet comme Facebook, YouTube (Google) et Twitter se sont mis à censurer les contenus relativement viraux en faveur de l’hydroxychloroquine et en défaveur de la vaccination, et la liste n’est pas exhaustive, c’est qu’il y a des conflits d’intérêts en jeu et donc des forces en présence souhaitant imposer leur volonté aux peuples.
Il semble que pour Big Pharma, pour les Big Tech et pour certains milliardaires, Donald Trump a constitué un obstacle : ce dernier a en effet promu l’hydroxychloroquine ; il a dénoncé les conflits d’intérêts au sein de l’OMS et a appelé à sa réforme ; il a considéré que les applications de traçage numérique pouvaient porter atteinte à la constitution américaine, aux droits et libertés individuels ; il a pris un décret pour mettre fin à l’immunité judiciaire dont disposaient les géants du web dans la modération des contenus postés sur leurs plateformes et qui les conduisait parfois à violer la liberté d’expression. Aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, c’est cet homme, dont les médias mainstream vantent les imperfections au quotidien, qui serait allé dans un sens relativement plus raisonnable en pleine crise sanitaire.
C’est pourquoi il est légitime de se demander si la mort proprement scandaleuse de George Floyd, victime d’un racisme systémique qui doit être combattu, n’est pas désormais l’objet d’une récupération politique de la part des grands médias et des intérêts financiers qu’ils ont servis pendant la crise sanitaire, pour abattre politiquement Donald Trump lors de l’élection présidentielle de novembre prochain.
L’honnêteté intellectuelle conduit à noter que plusieurs Noirs ont trouvé la mort entre les mains de la police sous la présidence de Barack Obama. Il n’est donc pas raisonnable d’imputer la responsabilité de la mort de George Floyd à Donald Trump comme le sous-entendent les grands médias qui attisent les tensions et ressuscitent des cas récents de crimes qui ne les avaient pas émus outre mesure auparavant. La mort de George Floyd ne doit pas faire l’objet d’une récupération et d’une manipulation du peuple à des fins politiciennes temporaires, sans résolution véritable. Elle doit être l’occasion d’un examen sérieux des causes structurantes du racisme aux Etats-Unis et des propositions rigoureuses pour corriger les injustices et consolider la nation.
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