L’Angleterre a décidé ce lundi 19 juillet de mettre fin aux restrictions sanitaires, y compris le port du masque et la distanciation sociale[1], dans un contexte marqué par la baisse de la mortalité et des hospitalisations liées au coronavirus. L’augmentation dans le pays des cas de contamination au variant Delta ne se traduit pas par un développement important des cas graves.
Plusieurs médias mainstream qui semblent s’être reconvertis dans le marketing et le placement des produits (vaccins) de Big Pharma, tentent de nouveau d’agiter la peur en alimentant la narration d’une crise sanitaire perpétuelle dont la seule issue serait, à leurs yeux, de renoncer au régime des libertés qui a fait la grandeur de l’occident. L’épidémiologiste britannique Neil Ferguson, cerveau du confinement qu’il avait enfreint lui-même, dont les modélisations sanitaires alarmantes se sont révélées fausses a déclaré que la décision du Premier ministre Boris Johnson entraînerait une augmentation des hospitalisations.
Il en faudra pourtant plus pour arriver à plier un pays historiquement connu pour la défense des libertés avec la célèbre charte de la Magna Carta adoptée dès 1215, un pays qui a résisté aux envahisseurs nazis en 1940, un pays qui a su faire respecter le vote souverain de son peuple en 2016 en réalisant le Brexit malgré les opérations de diabolisation et de déstabilisation tous azimuts. Après les mesures de confinement et les campagnes de vaccination, et au regard notamment de l’efficacité nulle ou relative des vaccins et de la perspective des nouveaux variants, l’Angleterre semble désormais faire le choix de l’acquisition de l’immunité naturelle par sa population.
[1] France 24, 19 juillet, 2021, https://youtu.be/i1L_M5PCzjg, https://www.youtube.com/watch?v=r9_pZmKKj_s
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