Richard Hopkins, l’agent de la Poste à Erie, quatrième ville de la Pennsylvanie, qui a témoigné qu’un superviseur avait demandé aux agents d’antidater des bulletins de vote par correspondance, maintient ses déclarations.[1] Cette confirmation intervient après que des députés démocrates et un article du Washington Post aient affirmé que Hopkins était revenu sur ses allégations de falsification des bulletins de vote.[2] Ce dernier avait été écouté par des agents fédéraux qui semblaient le pousser à atténuer ses déclarations.[3] L’un de ces agents fédéraux, Russell Strasser, animait sous un nom d’emprunt un compte Twitter anti-Trump selon des informations divulguées par Project Veritas.[4] Hopkins a été mis à pied sans solde par son employeur[5] et un fond de soutien en ligne lancé en sa faveur sur gofundme a été supprimé.[6]

[1] YouTube, Project Veritas, https://www.youtube.com/watch?v=ibU5KVFCg4Y&feature=youtu.be

[2] Washington Times, November 10, 2020, https://www.washingtontimes.com/news/2020/nov/10/richard-hopkins-pennsylvania-postal-worker-recants/ ; Washington Post, November 10, 2020, https://www.washingtonpost.com/investigations/postal-worker-fabricated-ballot-pennsylvania/2020/11/10/99269a7c-2364-11eb-8599-406466ad1b8e_story.html

[3] Twitter, James O’Keefe, Project Veritas, https://twitter.com/JamesOKeefeIII/status/1326323334800437248

[4] The Post Millennial, November 11, 2020, https://thepostmillennial.com/breaking-project-veritas-reveals-strasser-anti-trump

[5] Twitter, James O’Keefe, Project Veritas, https://twitter.com/JamesOKeefeIII/status/1326331815049752577

[6] Gofundme, https://www.gofundme.com/f/support-richard-hopkins-the-erie-pa-whistleblower

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