Les Jeux olympiques de Paris ont été marqués par des prouesses sportives et par la ferveur de milliards de téléspectateurs. La beauté des Jeux a été cependant ternie par la laideur de nombreux symboles glauques qui ont émaillé les cérémonies d’ouverture et de clôture de ces Jeux.[1] Le présent article n’en évoquera que les 7 principaux qui, dans leur ensemble, confirment la réalisation scandaleuse de rituels sataniques au vu et au su de tous.
1/ La tête décapitée de Marie-Antoinette
2/ Le Passeur des enfers
3/ Les sacrifices d’enfants
4/ Le taureau ou veau d’or
5/ Le Cavalier de l’Apocalypse
6/ La scène de la Cène
7/ Le Golden Voyager
1/ La tête décapitée de Marie-Antoinette
Au cours de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques est évoquée une page sanglante de la Révolution française. La dernière reine de France, Marie-Antoinette, est montrée toute vêtue de rouge, égorgée et portant dans ses mains sa propre tête, une tête ensanglantée qui s’agite et s’écrie : « Ah ! ça ira, ça ira, ça ira ! Les aristocrates on les pendra ».[2] L’image fait froid dans le dos au milieu de fenêtres rouge sang, le tout sous une musique sombre du groupe de death metal français Gojira. Il faut d’emblée noter que les sonorités lugubres choisies pendant les Jeux sont un révélateur de sombres rituels.
La scène précitée est non seulement une célébration noire de la mort de Marie-Antoinette, mais elle évoque à travers cette personnalité, guillotinée 8 mois après le roi Louis XVI en 1793, la victoire des révolutionnaires en particulier francs-maçons sur l’Église catholique, et par extension, sur la foi chrétienne. Un vent de déchristianisation souffle alors en France, les prêtres sont massacrés, les églises sont fermées, la plupart des pasteurs protestants sont conduits à cesser leurs activités. Le culte de la Raison visant à remplacer le christianisme se propage. Le révolutionnaire Robespierre établira ensuite le culte de l’Être suprême, une nouvelle religion d’État, destiné à remplacer le catholicisme. En somme, la scène présentée d’une façon aussi morbide d’une Marie-Antoinette décapitée pendant la cérémonie d’ouverture de Jeux olympiques peut-être perçue comme un symbole général contre le christianisme. L’analyse des autres symboles glauques révèle un faisceau d’indices confirmatif.
2/ Le Passeur des enfers
La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris a été particulièrement marquée par la présence d’un individu masqué transportant la flamme olympique.[3] Au début, on voit le comédien Jamel Debbouze dans un stade rencontrer l’ancien footballeur Zidane qu’il appelle de façon surprenante Jésus Christ, semblant ainsi poser la première pierre du sacrilège. L’ancien footballeur récupère ensuite la flamme olympique et la transporte dans le métro où une coupure d’électricité l’oblige à la passer à trois enfants. Ces derniers se rendent alors dans les catacombes de Paris où sont entassés de nombreux crânes de morts avant de s’installer dans une barque conduite par l’individu masqué.[4]
Personnage central de la cérémonie d’ouverture des jeux, l’individu masqué a été associé à un personnage d’Assassin’s Creed, un jeu vidéo qui dépeint une lutte entre un Ordre des assassins et les Templiers, un jeu qui se veut le successeur spirituel d’un autre jeu, “Prince of Persia“, du nom d’une entité démoniaque décrite dans la Bible (Daniel 10:13). Toutefois, cet individu rappelle surtout Charon, un personnage de la mythologie grecque dont la fonction est de transporter les âmes mortes sur une barque contre une obole. Charon est le passeur des enfers qui fait traverser aux morts la rivière qui sépare le monde des vivants de celui des morts.[5]
Autrement dit, la présence des trois enfants dans les catacombes (un lieu qui évoque l’univers de la mort et du cimetière) avant qu’ils ne prennent place dans la barque de Charon symbolise en réalité leur mort et un rituel sacrificiel qui les conduit en enfer. La cérémonie montre d’ailleurs de façon furtive ces enfants menacés par un crocodile avant d’être embarqués. C’est ensuite Charon dans sa barque corbillard qui montrera sur les eaux de la Seine le chemin de l’enfer aux délégations sportives venues du monde entier. Tel Lucifer, le porteur de lumière, Charon est le transporteur de la flamme olympique tout au long de la cérémonie et on le voit même se rendre à la Monnaie de Paris (institution monétaire nationale de la France) comme pour y récupérer son obole de transporteur des âmes mortes.[6]
3/ Les sacrifices d’enfants
La cérémonie d’ouverture des jeux a montré au moins deux séquences qui évoquent des sacrifices d’enfants typiques d’un rituel satanique. La première séquence, déjà susmentionnée, concerne la présence des trois enfants dans la barque de Charon, le transporteur des âmes mortes. La deuxième séquence, quant à elle, se déroule pendant une parodie de la Sainte Cène lorsqu’on y voit un homme dévisager une petite fille avant de passer son doigt le long de son propre cou en signe d’égorgement évoquant le sacrifice de l’enfant.[7] Par ailleurs, et de façon plus générale, on voit le rappeur français Slimane exécutant de façon furtive une scène d’étranglement pendant sa prestation. Une célébration aussi intense et morbide de la mort est caractéristique d’un rituel satanique.
La Bible mentionne et interdit la pratique odieuse du sacrifice d’enfants, une pratique satanique désarçonnante réalisée en l’honneur d’un démon nommé Moloc ou Moloch : « Tu ne livreras aucun de tes enfants pour le faire passer à Moloc » (Bible, Lévitique 18:21) ; « (…) afin que personne ne fît plus passer son fils ou sa fille par le feu en l’honneur de Moloc » (Bible, 2 Rois 23:10). Moloch est représenté sous la forme d’un homme ayant une tête de taureau avec ses deux cornes, un autre symbole arboré pendant les jeux olympiques de Paris.
4/ Le taureau ou veau d’or
Si l’image d’un homme à tête de taureau avec ses cornes permet d’identifier Moloch, l’image du taureau est plus généralement une représentation de Baal associé à Satan. Une statue représentant un taureau avec ses deux cornes a été notamment arborée sur la tribune de la cérémonie d’ouverture des Jeux, sans qu’on en voie l’utilité ou l’explication rationnelle.[8] Ce n’est pas la première fois que cette sombre image du taureau cornu est représentée au cours d’une compétition sportive internationale ou à l’occasion d’événements importants. En 2022 par exemple, la cérémonie d’ouverture des Jeux du Commonwealth organisés à Birmingham en Angleterre a été particulièrement marquée par un rituel vénérant un taureau métallique géant et effrayant.[9]
Cette tête de taureau arborée aux Jeux de Paris était d’une couleur dorée. Ainsi, cette image peut être également associée au veau d’or, une statue faite d’or qui fut élevée et vénérée dans le désert par les Israélites en lieu et place de Dieu (Bible, Exode 32:1-8). Cette pratique enflamma la colère de Dieu contre Israël. Le veau d’or est donc un signe de rébellion contre Dieu et le symbole d’un culte satanique. Le lendemain de l’institution du veau d’or, il y eut ensuite une fête : « le peuple s’assit pour manger et pour boire ; puis ils se levèrent pour se divertir » (Bible, Exode 32:6). La version Good News Translation de la Bible est plus explicite : “The people sat down to a feast, which turned into an orgy of drinking and sex“. C’est ici un lien entre les rituels sataniques et la promotion de la perversion sexuelle. C’est une chose que des individus décident d’avoir un comportement sexuel immoral, c’en est une autre qu’un agenda d’immoralité sexuelle soit érigé en modèle de société, presqu’imposé à tous y compris aux enfants.
La Bible établit ainsi un lien entre la perversion sexuelle et les activités démoniaques. Lorsque les anges déchus furent précipités sur la terre, la Bible déclare que ces derniers se livrèrent à des vices sexuels comparables aux pratiques ultérieures à Sodome et Gomorrhe : le Seigneur « aréservé pour le jugement du grand jour (…) les anges qui n’ont pas gardé leur dignité, mais qui ont abandonné leur propre demeure; que Sodome et Gomorrhe et les villes voisines, qui se livrèrent comme eux à l’impudicité et à des vices contre nature [“immorality and every kind of sexual perversion”(Bible NLT)] sont données en exemple, subissant la peine d’un feu éternel » (Bible, Jude 1:6-7). Par ailleurs, la Bible mentionne que le culte rendu à la déesse cananéenne Asherah, culte lié à celui de Baal, était caractérisé par des pratiques d’immoralité sexuelle impliquant des hommes prostitués (Bible, 1 Rois 14:24-25, 15:12, 22:46).
Force est de constater que la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques a abondé en signes de perversion sexuelle et sans lien rationnel avec le sport : le spectacle affligeant de travestis, drag-queens et transsexuels sur la scène évoquant la Cène (une séquence que certains pays ont refusé de diffuser) ; la scène filmée à la Bibliothèque nationale dont la richesse s’est résumée à une présentation furtive de livres vantant la décadence morale et sexuelle : “le diable au corps”, “les liaisons dangereuses”, “les amants magnifiques” ; ou encore le ménage à trois, délicat à décrire ici tant la pudeur nous impose une retenue.[10]
Enfin, la cérémonie de clôture des Jeux n’a pas été en reste sur les symboles occultes même si les organisateurs semblent en avoir édulcoré le contenu suite au scandale de la cérémonie d’ouverture. Cette cérémonie de clôture s’est déroulée à l’intérieur du stade de France, et à cette occasion, une grande plateforme métallique rasoir représentant les 5 continents a été installée sur le terrain vêtu de noir. Cependant, une vision aérienne et panoramique de ces installations révèle une image ressemblant à un taureau cornu (ou à un cheval) muni d’une lance.[11]
5/ Le Cavalier de l’Apocalypse
La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris a été également caractérisée par un personnage chevauchant la Seine sur un cheval mécanique argenté. Les organisateurs ont affirmé que ce personnage incarnait Sequena, la déesse de la Seine. Cependant, plusieurs observateurs ont immédiatement pensé aux quatre Cavaliers de l’Apocalypse cités dans la Bible, chacune de ces entités démoniaques étant assise sur un cheval d’une couleur différente : le premier cheval blanc, le deuxième rouge (roux), le troisième noir, et le quatrième pâle, un pâle vert/gris selon les versions anglaises New Living Translation et Amplified Bible.
En l’espèce, il semble s’agir du quatrième cheval : « Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur pâle [pâle vert/gris]. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l’accompagnait » (Bible, Apocalypse 6:8). Tout d’abord, le cavalier représenté sur la Seine était d’une couleur argentée, se rapprochant d’une couleur pâle grise. Ensuite, une lumière verte a été projetée sur ce cavalier tandis qu’il se déplaçait sur la Seine. En outre, le cavalier a été également diffusé au centre d’une image lui conférant des ailes, ce qui révèle sa nature surnaturelle. Enfin, ce cavalier a été montré à la tête d’une armée, symbole d’une armée prête à combattre, à répandre la mort et le séjour des morts. Cette énième image cavalière confirme de nouveau le caractère morbide et mortifère de la cérémonie d’ouverture des Jeux.
6/ La scène de la Cène
La scène parodiant la Sainte Cène est la séquence emblématique qui a jeté l’opprobre sur les Jeux comme en témoignent les protestations venues de plusieurs pays y compris des pays de tradition musulmane. Cette séquence a conduit le Comité International Olympique (CIO) à retirer de sa chaîne YouTube la cérémonie d’ouverture des Jeux. Certaines vidéos de cette cérémonie d’ouverture partagées sur les réseaux sociaux ont été ensuite censurées pour violation alléguée des droits d’auteur.
Sur cette séquence blasphématoire apparaissent autour d’une table des individus exhibant effrontément une sexualité contre nature dans un évènement suivi par des milliards d’individus. On y voit notamment un homme quasiment nu représentant Dionysos (Bacchus romain), le dieu du vin, des fêtes et de la folie ; des travestis, drag-queens et transsexuels tournant en dérision le tableau originel de la Cène qui représente le sacré, la sainteté et la foi de milliards d’êtres humains. Tentant de se défendre, le directeur artistique et la styliste de la cérémonie ont parlé d’inclusion là où il s’agissait précisément d’exclusion, une exclusion caractérisée par une moquerie sans vergogne de la foi chrétienne, sans lien cohérent avec le sport, et dénotant une ignorance des cultures et des peuples du monde.[12]
Par ailleurs, les organisateurs, experts et différents relais dans la presse locale ont expliqué que la séquence critiquée ne s’inspirait pas du célèbre tableau de Léonard de Vinci dépeignant le dernier repas du Christ (1495-1498), mais d’un autre tableau beaucoup moins connu : “Le Festin des dieux” de Jan Van Bijlert (vers 1635-1640). Or, le fameux “Festin des dieux” est en réalité lui-même une parodie grotesque et blasphématoire de la Cène, à savoir une Cène dévoyée pour contourner la censure de la réforme Protestante qui avait cours en Hollande au 17e siècle. Sur son tableau, Jan Van Bijlert avait remplacé les images des principales personnalités bibliques par les dieux de la mythologie romaine.[13]
Pour conclure, la scène parodiant la Sainte Cène constituait une attaque frontale contre le christianisme, contre la morale biblique qui condamne explicitement l’homosexualité et toute autre sexualité contre nature (Bible, Genèse 19:5, Lévitique 18:22, Romains 1:26-27, 1 Corinthiens 6:9-10, 1 Timothée 1:10, Jude 1:7).
7/ Le Golden Voyager
Pendant la cérémonie de clôture des Jeux apparaît aux côtés de l’individu masqué et du cavalier cités plus haut, un troisième personnage central appelé Golden Voyager (Voyageur Doré).[14] Le directeur artistique des Jeux a expliqué qu’il s’agissait du Golden Record/ Disc. Le Golden Record est un disque contenant des sons et des images de la vie sur la terre ainsi que les coordonnées physiques de la terre dans l’univers, une forme de carte d’identité de la civilisation humaine. Ce disque fut lancé dans l’espace en 1977 par la NASA dans l’objectif de communiquer le cas échéant aux extraterrestres ou à une civilisation avancée des données concernant la vie humaine.[15] Le directeur artistique des Jeux a expliqué que le Golden Voyager était ce disque qui a voyagé dans l’univers et qui s’est matérialisé, prenant donc une forme et revenant sur la terre.[16] C’est ainsi que l’on voit au cours de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques le Golden Voyager descendre du ciel.
Seulement, on peut tout d’abord s’étonner de la transformation d’un disque en une entité vivante. Ensuite, cette entité d’un aspect squelettique et hideux avec des mains pointues et deux formes de cornes sur le crâne ressemble clairement à un démon. En outre, le Golden Voyager est descendu du ciel sous une musique angoissante et funèbre, sur une terre détruite et sur une plateforme à l’image d’un taureau cornu. On peut légitimement estimer au regard du scénario que ce n’est pas le disque qui a pris une forme vivante, mais une sombre entité extraterrestre qui est descendue sur la terre après avoir eu accès aux données du disque. Le Golden Voyager ne descend d’ailleurs pas seul sur la terre, il est suivi d’une armée d’êtres aux yeux de monstres, aisément associés à des êtres malfaisants.[17]
De plus, l’affiche officielle de la cérémonie de clôture des Jeux montrait un être lumineux descendant ou tombant sur la terre.[18] Pour les lecteurs de la Bible, ces éléments rappellent Lucifer, ange originellement lumineux et dont le nom signifie porte-lumière, précipité du ciel sur la terre et accompagné d’une armée d’anges déchus animés d’une grande colère contre les hommes. Cette scène de la cérémonie de clôture des Jeux ressemble à un rituel satanique.
Conclusion
Les Jeux olympiques de Paris auraient dû servir à promouvoir la nation française, la beauté de ses terroirs, la richesse de sa culture, l’excellence de la gastronomie… S’il y a eu des réussites notables, c’est également une image dégradante de la France qui a malheureusement été présentée dans le monde et qui s’est soldée par un scandale planétaire. Dans une démocratie sérieuse, des comptes devraient être demandés aux organisateurs et aux autorités publiques. L’intensité de l’évocation de la mort, le recours au blasphème, la multiplication de symboles sataniques ont terni la beauté des Jeux. Les cérémonies d’ouverture et de clôture ont constitué une attaque frontale contre les valeurs judéo-chrétiennes traditionnelles.
De façon plus générale, force est de constater que les tentatives de promotion du satanisme se multiplient à l’occasion de cérémonies internationales : la cérémonie d’ouverture des JO de Londres de 2012 avec un Voldemort géant[19] ; la cérémonie d’inauguration du tunnel de Saint Gothard en Suisse en 2018 avec des prestations perçues comme un rituel satanique[20] ; les Jeux du Commonwealth de 2022 à Birmingham en Angleterre avec un taureau mécanique géant vénéré par plusieurs[21] ; les Grammy Awards de 2023 aux États Unis avec les prestations sataniques de Sam Smith et Kim Petras qui ont remporté le prix du meilleur duo Pop pour une chanson intitulée “Unholy” (“Pas saint”)[22]; le Concours de l’Eurovision de 2024 avec une chanteuse irlandaise déguisée avec des cornes[23] ; et les récents Jeux olympiques de Paris de 2024.
Tous ces événements illustrent une attaque consciente et coordonnée contre la foi et la morale chrétiennes. Constituent-ils une forme d’opération à la fois spirituelle et marketing de la venue de l’Antéchrist, ce dirigeant politique qui émergera sur la scène internationale et qui incarnera le mal en chair et en os selon les prophéties bibliques ?
[1] RTS, https://www.rts.ch/sport/video/jeux-olympiques/15090469-la-ceremonie-de-cloture-des-jo-de-paris-2024-en-integralite.html
[2] Le Figaro, www.lefigaro.fr/actualite-france/jo-paris-2024-une-marie-antoinette-decapitee-chantant-ca-ira-divise-les-internautes-20240726
[3] NBC Sports, https://youtu.be/yaHqzFpsVT0
[4] Les Doc’s, https://youtu.be/cf_aNRRZ-w0 ; Le Huffington Post, https://youtu.be/DdlQeELoFwg
[5] Il est intéressant de noter ici cet extrait de la Bible : “He [God] protects them (…) from crossing over the river of death” (Job 33:18, Bible, New Living Translation).
[6] Dans le clip vidéo de la chanson “À quoi je sers” de Mylène Farmer, celle-ci prend place à bord d’une barque conduite par un batelier qui la mène à travers un marais à la façon de Charon voguant sur le Styx à la rencontre de différents personnages aperçus dans des clips des albums précédents, https://youtu.be/XXLu3kx88vk.
[7] https://x.com/merlinscapital/status/1816944907220562024
[8] https://x.com/franceeteu/status/1817862632470405524 ; https://x.com/lafrancedabord6/status/1817207436115152932
[9] BBC, https://youtu.be/JZRX4-h8c3Y ; Evan Davis, https://youtu.be/53PhzNHSOmU
[10] https://x.com/ericarchambaul7/status/1820540986470346819 ; https://x.com/f_desouche/status/1816907920413720637
[11] https://x.com/frammerychloe/status/1823398254685368519 ; Olympics, https://youtu.be/jcB7QA5N7CE
[12] BFM TV, https://youtu.be/frfeS6uZMdk
[13] https://x.com/roumainduris/status/1818254334439600136 ; https://x.com/roumainduris/status/1818254576035737671
[14] https://x.com/olilondontv/status/1822773713403535845 ; NBC Sports, https://youtu.be/adlWCYxP2To
[15] NASA, https://voyager.jpl.nasa.gov/golden-record/, https://voyager.jpl.nasa.gov/golden-record/whats-on-the-record/
[16] https://x.com/imso_vogue/status/1822857498136814043
[17] https://x.com/eagle_feed/status/1822840139246190615
[18] https://x.com/paris2024/status/1811440617777480093 ; Olympics, https://olympics.com/fr/infos/jo-paris-2024-ceremonie-cloture-stade-de-france ; Paris 2024, https://www.youtube.com/watch
[19] Milad Massum A., https://youtu.be/-9kR2V_K5E8
[20] Daily Mail, https://youtu.be/CbOldRsITpQ
[21] BBC, https://youtu.be/JZRX4-h8c3Y ; Evan Davis, https://youtu.be/53PhzNHSOmU
[22] Page Six, https://youtu.be/6-EpvI6vXl4 ; Recording Academy / GRAMMYs, https://youtu.be/f3ti1OmtN4c
[23] Eurovision National Finals (2), https://youtu.be/d0sMzLPWJI4
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