Il s’en est fallu de quelques jours seulement pour que les médias mainstream américains qui expliquaient que les gens devaient absolument respecter les règles de distanciation sociale pour éviter une deuxième vague du Covid-19 se mettent à encourager des manifestations censées pourtant être des sources de contamination avérées. Tout se passe comme si on avait
Le 16 avril 2020, le Financial Times a réalisé une interview d’Emmanuel Macron.[1] Plusieurs questions ont été posées au président français, mais la dernière question de cette entrevue mérite une attention particulière par sa dimension à la fois personnelle, philosophique et prospective. La journaliste Roula Khalaf du Financial Times a demandé à Emmanuel Macron s’il avait
Pour la première fois dans l’histoire, un géant du web a décidé de procéder à un “fact-checking” des déclarations tenues par un président américain. Le “fact-checking” est une opération qui consiste à vérifier les faits pour confirmer ou infirmer une déclaration donnée. Certains sites sont spécialisés dans cette activité, mais on comprend vite l’intérêt pour
La présente revue comporte une liste non-exhaustive des déclarations prémonitoires qui présentent une probabilité plus ou moins forte d’être spécifiquement liées au Covid-19. Plusieurs d’entre elles sont en revanche indéniablement précises. Dans cette revue synthétique, il a été possible de remonter jusqu’en 1981, soit 39 ans avant le déclenchement de la crise sanitaire mondiale. La
Dr. Mike (Michael) Ryan, directeur exécutif en charge du programme d’urgences sanitaires de l’OMS et à la tête de l’équipe responsable de l’endiguement et du traitement du Covid-19 dans le monde, affirme ce 25 mai 2020 la probabilité d’une nouvelle vague du Covid-19.[1] Intervenant au désormais célèbre Event201 d’octobre 2019, le même homme annonçait de
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) décide de suspendre ses essais cliniques avec l’hydroxychloroquine à la suite de l’étude publiée par la revue The Lancet. Plusieurs s’étonnent de cette décision alors que l’étude, au demeurant non randomisée, conclut en l’inefficacité de l’hydroxychloroquine pour les malades graves du covid-19, ce que tout le monde savait déjà ;
Le confinement de la population avait été rendu nécessaire pour éviter toute pression sur le système hospitalier qui ne pouvait pas supporter le nombre croissant des malades. Le but visé était d’attendre la fin du pic de la maladie. Après le pic de la maladie et la réduction de la contamination, la population devait être
Des scientifiques britanniques veulent infecter des individus volontaires au Covid-19 dans l’objectif d’accélérer la recherche du vaccin.[1] Leur demande auprès des autorités britanniques s’appuie sur un guide de l’OMS du 6 mai 2019 qui autorise l’infection délibérée des personnes en bonne santé dans le but de trouver le vaccin.[2] Ce guide de 19 pages établit le
Le lundi 18 mai 2020, le président Donald Trump affirmait qu’il prenait de l’hydroxychloroquine pour se prémunir contre le COVID-19.[1] Le vendredi 22 mai 2020, c’est-à-dire exactement la même semaine, la revue médicale The Lancet annonce une étude qui montrerait l’inefficacité voire la dangerosité de l’hydroxychloroquine. Ces dernières heures, plusieurs médias mainstream européens et outre-Atlantique
Johnson & Johnson retire de la vente sur les marchés américain et canadien sa poudre pour bébé à base de talc. En effet, près de 20.000 procès ont été intentés contre ce produit accusé de causer le cancer. En 2018, la plus grande entreprise pharmaceutique au monde avait été condamnée à payer 4,7 milliards de dollars